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 Spring Break [Wilhems & Ange -18]

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Dim 6 Mai - 20:24



 
Spring Break


Au début, j’avais refusé, expliquant que mes études ne me permettaient pas de prendre une semaine de vacances. Puis, lorsqu’il m’avait envoyé photos et doc’s sur l’endroit ou allait se passer le spring break de notre bahut, j’ai mollement dit qu’il ne serait pas sérieux pour moi d’aller à ce genre de fête. Puis mes amies peu à peu m’ont toutes confirmé qu’elles allaient y aller et qu’elles espéraient bien s’amuser à fond. Lorsque j’ai annoncé à Wilhelms que finalement oui, j’allais venir, je ne m’attendais pas à un tel déferlement de joie.

J’en avais parlé avec mes parents qui trouvaient l’idée bonne de se sociabiliser un peu plus. Ils ne devaient pas avoir entendu parler des abus dans ce genre de fête. Alcool à volonté, tabou qui saute, drogue, tout était là pour inhiber les barrières et permettre un amusement sans limites. Enfin, c’est ce qui se disait sur toutes les lèvres. Je comprenais bien pourquoi Wilhelms voulait que l’on aille là-bas. Pas de limites, pas de tabous.

Le voyage se fit par l’intermédiaire d’un avion puis d’un bus jusqu’à Miami. Sur place, nous avions avec plusieurs amies, réservé des chambres dans le même hôtel sur le bord de la plage. Mes parents n’avaient pas lésiné sur mon argent de poche et j’avais de quoi vivre cette semaine tranquillement en abusant allégrement. Alors que nous nous installions dans nos chambre (que j’avais prises seules pour pouvoir avoir la liberté de dormir avec Wilhelms), je reçus un message de mon bel allemand. À première vue, il avait déjà commencé à boire avec le jeune Torbjorn. C’était un de ces nouveaux potes avec qui il aimait bien passer du temps dans des bars.

Alors que je rangeais mes vêtements dans l’armoire, Coralie, une de mes amies, vint me dire qu’elles descendaient déjà en bas, boire et profiter un peu de la plage avant que tout le monde n’arrive. Ce n’était pas un si mauvais idée et ce fut en cinq minutes que j’avais enfilé une tenue plus adaptée à des délires aquatiques. Je portais un haut blanc légèrement transparent qui montrait à peine mon bikini en dessous. J’envoyais un message à Wilhelms.

« Hello beau gosse. Rendez-vous dans trente minutes à la plage en face du Passionata. Je vais barboter un peu. »

Alors que je me mettais en route pour traverser le sable et plonger un peu dans l’eau, je me rendais compte de ce que voulais dire pas de tabous. L’alcool était déjà largement consommé par des jeunes un peu partout, d’autres montraient sans aucune pudeur qu’ils avaient fortement envie l’un de l’autre, et il me semblait qu’à droite, il y avait un groupe qui partageait bière et joint. Qu’est-ce qui m’avait pris d’accepter cette semaine. Alors que j’allais arriver à l’eau, un mec passa devant moi.

« Hey salut beauté, Jesse McCree pour vous servir. Je vois que tu es toute seule, alors je suis venu voir, si ça te bottait de venir boire un verre avec moi et mes potes. »

Il me montra alors du doigt, quatre gars et six filles qui discutaient en cercle alors que l’un d’entre eux, un Brésilien jouait de la guitare. Ils semblaient ne pas abuser et buvée des bières en parlant et en rigolant. Ils étaient peut-être les plus normaux de toute cette plage.

« Angela, enchanter, je ne dis pas non, mon copain devrait arriver d’ici une bonne demi-heure. »

Il me fit un sourire et mis sa main vers le groupe.

« Enchanté Angela, il ne devrait pas trop avoir de mal à te trouver, une fille si lumineuse, se voit du fond de la plage. »

Sa remarque me fit rougir.






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 ►Véritable nom :
Reinhardt Wilhelm


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Reinhardt
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APPELEZ MOI L'EMPALEUR
Mer 9 Mai - 20:01


 
 

 

 Une maison à sécuriser
Aussitôt arriver dans l’hôtel, j’avais jeté ma valise sur le lit et était parti au bar. Il faisait chaud, la musique rimé les mouvements des jolies filles qui se déhanchait autour de la piscine. Tout était prévu pour les jeunes adultes qu’on était. A première vue, il n’y avait que ça. Mon ami Tor avait fait de même que moi, on partageait la même chambre. Mes parents, enfin surtout ma mère, était contre cette sortie scolaire, j’avais donc vu mes finances restreintes, obligeait à faire attention à la dépense. Heureusement, j’avais trouvé des alternatives, vous imaginez, j’avais dû Travailler… Après les cours et les entrainements, je bossais comme travailleur de nuit dans une boite branchée. Cela n’avait vraiment plus à Angela, surtout que certaines jolies filles étaient prêtes à tout pour entrer dans les lieux.

Derrière mes lunettes, je ne perdais pas une miette du spectacle des vacancières. J’entendais vaguement les jérémiades de Tor qui se plaignait de la chaleur.  

- Je suppose que tu ne seras pas souvent dans la chambre…Me demandait-il en me sortant de me songe
- Hum, j’espère bien vieux.
- Génial
- Attention ne me dit pas que t’a des vues sur quelqu’un ? Lui dis-je surpris.

Torbjorn était un petit gas costaud qui n’avait rien pour lui, avec sa mâchoire carrée qui lui donnait des airs de tueur. Pourtant s’était un grand tendre, trop timide pour draguer une fille ouvertement. Heureusement, pour lui qu’il avait un cerveau car s’il devait compter sur son physique dans la vie, il n’irait pas bien loin.

- Tu ose prétendre que je suis puceau ! s’exclama-t-il
- Je n’ai jamais dit ça gas…
- Si tu avais une tête, tu saurais comment marchander les bonnes notes.
- OH toi ? Tu oses faire ça…
- Bien sur mon vieux

J’étais sur le choque. Alors, le petit faisait payer ces copies et les devoirs en nature avec les filles, malin ça. Enfin, il le prétendait

- Je t’offre une bière… pour ton génie.

Je reçus un message d’une belle créature qui m’attendait sur la plage. Je finis mon verre avant de quitter mon ami.

« J’arrive ma belle » Envoyais-je

Lorsque j’arrivai sur place, elle était à coté d’un bel homme. Il avait de discuter alors que le reste du groupe de cette homme, écoutait la musique du guitariste. Il avait l’air anormalement sobre pour des étudiants.

Je portais un t-shirt blanc moulant, un short et des lunettes de soleil. Je me plaçai directement devant eux pour faire de l’ombre au mon « rival ».

- Bonjour. Dis-je d’une grosse voix.

Je jetais un œil à Angela, derrière mes lunettes noires, elle était sublime avec sa courte robe de plage blanche qui dévoila son bikini.

- Je peux t’aider. Dit l’homme en short rouge

- Je ne crois pas. Mais la demoiselle oui. Dis-je d’un sourire charmeur.


Je la dévorais du regard, même si cela ne se voyait, cependant tout mon corps l’exprimait.

- Je suppose que c’est ton petit ami. Dit l’homme à Angela

Elle confirma.

- Dit le grand, tu ne cache le soleil. Dit une fille
- Moi je trouve la vue très appétissante. Dit sa copine qui bronzait à coté d’elle.

Je leur décochai un sourire amusé. J’appréciais toujours ce genre de compliment.

- Le soleil est mauvais pour la peau… Cela serait dommage d’abimer de tel chef d’œuvre. Dis-je en m’adresse à elles

Elles rirent. Je sentais une autre qui n’appréciait pas, son compagnon de fortune sentit également la tension.

- Je suis ma belle, tu veux rester tes nouveaux amis ou quoi ? Dis-je d’un ton pressé.


 

 




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Ven 11 Mai - 20:42



 
Spring Break


Jesse et ces amis étaient vraiment différents de tous ces gens que l’on pouvait trouver sur cette plage. Ils ne pensaient pas à l’alcool, ni aux filles. Ils étaient là simplement car il était presque socialement une tradition de participer à ce spring break sans quoi, les autres vous voyez comme des antisociale. J’appréciais particulièrement cette façon de penser et Lucio qui faisait de la musique depuis tout à l’heure m’expliqua qu’il y avait d’autres façons de s’amuser pendant le spring break.

« Tout à fait Angela, tu vois pour notre part, nous venons chacun d’une université différente et nous avons pris contact par un forum il y a quelques mois. Pour ma part, je viens du Texas, Lucio est au New York Primair University, Symmetra à ta gauche est en échange scolaire à Los Angeles, Genji et son frère Hanzo sont de l’est de Seattle et Mei un peu plus loin est de San Francisco. Pour la plupart, nous sommes en échange universitaire et nous avons du mal avec l’idée du spirng break. Donc nous nous sommes réunis sur un forum pour … »

« Bonjour. »

C’était la voix de Reinhardt et vu l’ombre que nous avions, je ne pouvais qu’être sûr de sa présence.

« Je peux t’aider ? »

« Je ne crois pas, mais la demoiselle oui. »

Jesse se retourna vers moi.

« Je suppose que c’est ton petit ami ? »

« Oui, Wilhelms, je te présente Jesse il est originaire du Texas et a créé un forum pour rassembler les expatrier universitaire et … »

Pendant que je parlais, Wilhelms répondit à deux filles qui avaient fait part de leur mécontentement ou presque. Comme toujours il en profita pour tenter de séduire les demoiselles dont l’une ne semblait pas indifférente à ces charmes vu la façon dont elle se mordait la lèvre inférieure.

« Je suis là ma belle, tu veux rester avec tes nouveaux amis ou quoi ? »

« Oui je vais rester avec eux. Comme ça tu auras toute la liberté qu’il te faut pour draguer et baiser les poufs de cette plage. Tu sais quoi, moi je reste avec eux, car ils sont bien plus proches de la mentalité que j’espère trouver ici plutôt que celle de tous les autres participants à ce spring break. »

Je me retournais pour tourner le dos à Wilhelms. Qu’est-ce qu’il m’avait pris d’accepter de venir ici ? J’entendis alors Reinhardt râler et mettre sa main sur mon épaule. A ce moment-là, Jesse poussa Reinhardt.

« Hey le grand, tu as entendu la belle demoiselle. Tu lui manques de respect en acceptant avec le sourire une remarque de cette fille là-bas. Tu te permets même d’en rajouter et tu espères qu’elle va venir avec toi ? Elle n’est pas ta chienne, ni un objet que tu trimballe. Tu devrais t’estimer heureux d’être en couple avec une demoiselle fort charmante. Donc laisse là respirer un peu, calme toi de ton côté et reviens quand tu lui présenteras des excuses. Ne t’inquiètes pas, il lui arrivera rien de mal ici, la charmante demoiselle est avec des gens biens. »






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Reinhardt
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Ven 11 Mai - 21:47


 
 

 

 Spring Break
« Hey le grand, tu as entendu la belle demoiselle. Tu lui manques de respect en acceptant avec le sourire une remarque de cette fille là-bas. Tu te permets même d’en rajouter et tu espères qu’elle va venir avec toi ? Elle n’est pas ta chienne, ni un objet que tu trimballe. Tu devrais t’estimer heureux d’être en couple avec une demoiselle fort charmante. Donc laisse là respirer un peu, calme toi de ton côté et reviens quand tu lui présenteras des excuses. Ne t’inquiètes pas, il lui arrivera rien de mal ici, la charmante demoiselle est avec des gens biens. »

La remarque était trop pour moi, mon sang bouillonnait et mes poings se serrait

- Tu ne me connais pas… Ni même mon couple… Alors je te permets de me juger.
- J’aime séduire et plaire, cela ne m’empêche en rien d’être fidèle, même si elle en doute. Elle s’est très bien ce que je peux faire par amour. Dis-je

C’était la première fois que je laisse sous-entendre ouvertement mes sentiments à son sujet. Ma remarque était également avant de comment j’étais quand j’aimais une femme. Angela m’avait vu dans mes pires moments après Ana, elle s’avait qu’il m’avait été très dur de m’en remettre et que j’étais capable du pire comme du meilleur pour ma femme que j’aimais.

- Ok puisque tu veux rester… Cela valait vraiment la peine que tu me demande de venir. Dis-je déçu et énerver.


Je savais très bien qu’Ange était venu à ces vacances uniquement pour moi, c’était également content qu’elle trouve des personnes comme elle, qui ne se sentait pas vraiment à leur place dans cet univers de débauche. Donc je pris le choix de la laisser, à contre cœur.

Je partis donc le regard triste, marcher le long de la digue. Je ne répondis à aucun message de sa part. Au bout d’un moment, je rentrai à la chambre et me posa sur le balcon, avec une bière. Je regardai l’animation d’en bas, cela n’avait plus vraiment de saveur.

Je pris une feuille et bic, et commençait à écrire. Cela avait fait partie de ma thérapie à la perte de Ana. Mais j’écrivais bien, j’adorais cela.


Je regard le monde d’en haut,
J’entend leur rire et leur chant
Mais le plus beau d’entre tous n’est pas là
Ma muse, ma créature, mon supplice

Toi, divine ondine des flots de mon cœur
Tu l’inonde de joie à chacun de tes sourires
Je suis un amoureux des belles plantes
Tel, le jardinier des nobles, j’aime les contempler
Cependant, à aucun moment, il ne les cueille
Il les admire, il arrose de compliments
Mais jamais, il ne les touche au risque de s’y piquer.

Ma douce, ma muse, ma lilith
Tu es ma lumière dans les ténèbres
Le phare qui me permet de ne pas noyer
Je suis un Minotaure perdu
Qui cherche son chemin dans les dalles de l’amour

Mon file, ma liberté, mon espoir
Jamais, je pourrais te donner autant que toi
Je suis qu’un bête indomptable après tout

Mon Aphrodite, mon Eurydice, ma bien-aimée
Ne m’en veux pas qu’être l’Appolon de ton cœur
Car tu es la déesse de mes sentiments et de mes songes

Alors, Pardonne mes colères
Rit ma fougue
Crie ma passion

Reinhardt



Une fois, la copie au propre, cela m’avait pris au moins une demi-heure. J’alla la glisser sous la porte. Et pris la décision d’aller me divertir en bas avec les autres de membre de l’équipe sportive. Surtout le chemin, j’écoutais / lissais les messages qu’on m’avait laissé. Au bar, tous les footballeurs et leurs groupies étaient installés à une table.

- Alors vieux… Tu n’es pas encore soul
- Peut-être avait-il mieux à faire. Dirent-ils en riant de moi.

Je leur souris en commandant une bière et m’installa avec eux. Certaine pompom me tenir compagnie mais cela n’effaça pas de ma tête, celle qui hantait mon esprit. J’espérais avoir un signe, d’elle à la nuit tombée. Car elle allait être longue, les bières, les filles et la musiques me semblaient sans saveur à l’instant même. Pour faire passer le temps, je plaisantais et jouait au Beach volet avec mes camarades.


 

 
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Brigitte
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Sam 12 Mai - 10:52



 


   
   
Spring Break


 
Les Spring Break, tout une aventure pour moi. Je n’avais que 15ans, il était pas normal que je puisse y aller. Pourtant j’étais là dans l’avion avec les autres terminaux.

La négociation pour participer à ce voyage avait été mouvementé. Mon père, un vieux bourru au sang chaud était totalement contre.

- NON Tu n’iras pas…. Tu n’as pas l’âge

- C’est trop dangereux… Tu sais ce que c’est …

- Il y a des la drogue…. Elle risque de se faire Violer tu te rencontres…. Elle n’a que 15ans…


Ma mère avait pris ma défense.  Mais il n’écoutait pas et ne faisait que crier, ma mère avait dû utiliser une insulte en suédois que je ne comprenais pas encore. J’avais encore quelque lacune avec les expressions nordiques. Au vu de la tête de mon père, elle ne devait pas être très jolie. Il s’était mis aussitôt à bouder dans son coin.

- Donc je disais… Brigitte est en dernière année, si elle ne le fait pas maintenant, elle n’aura jamais l’occasion de savoir ce que c’est que les Springs Break, je suis sûr qu’elle sera prudente, et puis tu connais ta fille, elle s’est se défendre.

Effectivement, mon père avait inscrit toutes ces filles dès l’âge de 10ans au self défense. Il grogna dans sa barbe.

- Tu ne dois pas voir en elle une gamine, elle est bien plus mature que les autres et surtout plus intelligente. Cette aventure va lui permettre d’avoir une certaine autonomie et de se sociabiliser. L’année prochaine, elle va à l’université, elle sera seule face à l’adulte, et aux dérives des facultés.


Il regarda ma mère d’un regard noir.

- Je pense que c’est un très bon apprentissage… Cela lui donnera les cartes en main pour après.

La discussion dura encore quelques temps mais plus calmement. Il avait finalement accepté, mais je le soupçonnais d’avoir mis une puce espionne dans mes affaires ou un logiciel dans mon téléphone. Même si c’était le cas, cela ne faisait rien, le principal s’était que je puisse participer à l’aventure. Néanmoins pas beaucoup d’amis et ne pouvant pas consommer d’alcool vu mon âge, j’avais parcouru le net des informations sur l’événement à Miami puisque cela était notre destination. J’étais tombé sur un forum de discussion « Les Spring Break oui, la débauche non ». Les anciens donnaient leur conseille et ceux qui y allait essayer de se réunir pour former des groupes. Il y avait une catégorie « Spring Break promotion…. Miami ». Je m’y étais présentée et y avait fait la connaissance de Jesse, Lucio et Mei. Si mon père savait que j’allais rencontrer des inconnus du net à un tel événement, il m’aurait enchainé à mon lit.

Une fois, sur place, je pris le temps de défaire mes bagages. Mon père avait exigé que je suis dans une chambre avec un autre camarade. Certainement avait-il peur que je ramène un homme. Donc je me retrouvais avec une certaine Barbara, que je ne connaissais pas plus que cela. Tout ce que je savais d’elle s’était un espoir en gymnastique. Elle était très fine, à peine formée, c’était elle qui avait l’air d’avoir 15ans.

Vu la chaleur, je me tirai dès que possible ma salopette fétiche, pour opter pour un bikini sportif noir : shorty et une brassière. Et je partis à la rencontre du groupe du forum. Je mis beaucoup de temps à les trouvé car je m’étais un peu perdue.

Lorsque j’arriva, celui que je supposais être Jesse était accompagné d’Angela, qui avait l’air bien en colère. Cela puait pour Reinhardt.

- Je crois que Brigitte arrive dit Lucio en s’arrêtait de jouer.

- Salut dès du retard, je suis un peu perdue. Dis-je


Jesse me regarda de haut en bas, je trouvais cela assez gênant. J’avais une allure de marathonien. Peut-être doutait-il que puisse avoir 15ans.  Angela confirma les dires de Lucio.

- Je ne savais que tu faisais partie des membres du forum. Lui Dis-je

Même si je ne trouvais pas cela illogique. Ange n’avait l’air d’être dans le même délire que les autres fêtards.

   

   




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Sam 19 Mai - 13:00



 
Spring Break


Face à sa remarque qu’il aimait séduire et plaire, mais que malgré ça, il était fidèle, je restais de marbre et ne broncha pas. Après m’avoir reproché de l’avoir fait venir pour rien, il retourna vers l’hôtel et quitta la plage. Je le regardai partir et commençais à m’en vouloir de lui avoir parlé ainsi. C’est vrai que je n’avais pas à lui reprocher d’être infidèle et qu’il aimait bien draguer sans rien demander en retour. Jesse revînt s’asseoir à côté de moi.

« Ne t’inquiètes pas Angela, il reviendra quand il sera calmé et il te suppliera de l’excuser. Ces grands gaillards sont tous les mêmes. »

« Tu sais en vrai, il n’a pas totalement tort, je ne peux pas lui reprocher d’être infidèle et je sais que toutes ces dragues, ne sont que des histoires de jeux pour lui. Il ne me trompera pas. »

« Tu sais Angela, c’est le cas classique d’une manipulation psychologique. Il te fait du mal, il te manque de respect et il arrive à te faire croire que c’est de ta faute et que c’est toi qui lui fais du mal. Ma belle, il ne faut pas l’écouter, tu es avec des gens bien ici, fais-moi confiance. »

« Oui mais … »

« Je crois que Brigitte arrive. »

Je me retournais sans avoir répondu à Jesse et effectivement, je reconnu bien là mon amie Brigitte. Elle semblait hors de son univers avec cette tenue, mais j’étais quand même contente de voir une tête connue. Je me levais pour lui faire la bise.

« Je ne fais pas partie des membres du forum, je suis tombé par hasard sur eux et le courant est tout de suite bien passé. En tout cas, je suis contente que tu sois là. »

Je pris mon smartphone pour voir si Wilhelms m’avait envoyé un message d’excuse, mais non. Je pris alors mon courage à deux mains et lui écrivit :

« Mon cœur, je ne voulais pas que tu partes, désolée de m’être emportée, je sais que je peux compter sur toi et je sais que tu es fidèle. Dis-moi ou tu es stp, je te rejoins. »

Jesse revînt vers moi.

« Je pari que tu viens de lui envoyer un message pour lui demander pardon ? »

« Non non, pas du tout, je viens de lui dire qu’il me reverra plus tard, mais je ne me suis pas excusée. »

Brigitte s’approcha de moi et me demanda qu’est-ce qui c’était passé ?

« Reinhardt est venu et il a était un peu brusque, donc Jesse, lui a dit de partir et de revenir quand il serait calmé. »

« Notons quand même, qu’il a dragué les deux filles là-bas devant toi et qu’il t’a ouvertement manqué de respect. »

« Euh oui, aussi, mais, c’est Wilhelms quoi. Dis Brigitte, tu veux qu’on aille marcher un peu toutes les deux et qu’on se mange une glace ? »






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Brigitte
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Dim 20 Mai - 20:33






Spring Break


Angela et moi n’étions pas spécialement des amies mais plutôt des copines de classes. On aimait bien s’entre-aider pour les cours. On avait toutes les deux cette passion pour les sciences et un niveau bien supérieur à la moyenne.

Lorsque les élèves virent les photos de Footballeur et belle, beaucoup furent déconcertés. Personnellement aussi, j’avais du mal à les voir ensemble. Je connaissais très bien Reinhardt, il m’avait pris sous son aile lorsque j’étais arrivée au Lycée. A ce moment, il se remettait difficilement d’une rupture, mais je n’en savais pas plus. Il me considérait comme sa petite sœur, je soupçonnais fortement que mon père y soit pour quelques choses. Je savais une chose, Willems en avait rien à faire des affaires politiques de sa famille. J’avais déjà essayé de savoir mais il n’avait rien dit.


Lorsqu’on me raconta que Reinhardt avait charmé les demoiselles, je ne fus pas étonnée. Il était comme cela, un plaisantin et un dragueur. Cela n’était pas pour cela que ce n’était pas une personne de confiance. Je n’avais jamais entendu ce qualificatif dans la bouche de ces amis, sauf de sa famille, peut-être, d’après ces dires. Cela faisait 1an que je côtoyais l’allemand et jamais, il ne m’avait déçu. Quand j’avais un souci avec un mec trop collant, il était là. Il avait juré de me protéger et ceux qui avait bravé ces dires, s’en souviennent encore et leur dossier dentaire aussi. En échange de sa protection, je l’avais aidé avec ces cours, enfin, je lui avais des devoirs pour qu’il puisse passer en terminal, car ne s’était pas joué avec son moyen de 6/20. Il y avait qu’en éducation physique, en philosophie et littérature qu’il avait bien au-dessus de la moyenne.
J’étais triste de voir Angela comme cela et surtout qu’elle ne voit pas le cœur d’or que son bien aimé avait. Je demandais s’ils se méritais l’un l’autre.

Elle me proposa d’aller marcher avec elle. Elle avait besoin de parler cela se voyait. J’accepta surtout avec une glace à la clé. J’étais une grosse gourmande surtout de sucrerie.

- Ok mais c’est toi qui paie. Dis-je avec humeur

On marcha le long de la plage et je l’écoutais.

- Tu sais… il n’a pas un mauvais fond… il est juste maladroits. Tu pourrais demander à ces amis ou à tout le monde, sauf sa famille, de le décrire. Je crois qu’ils diront tous « digne de confiance » « brave » « honnête ». Il en prétend pas être ce qu’il n’est pas… Tu peux lui reconnaitre ça. Dans toutes ces conquêtes, il a toujours été claire avec elle. Tu peux aller voir les pompom si tu veux.

Je me rappelais une 3e mi-temps mémorable. Je lui racontai

L’équipe de foot avait gagné un match très important pour la qualification. Les élèves avaient décidé de fêtés cela dans un club connu du campus, il était justement connu pour ces 3e mi-temps et pour la diffusion des matchs. Reinhardt avait invité à boire un coup avec lui, j’avais accepté. C’était ma première bière. Une des plus ancienne Pompom lui avait fait de l’œil durant tout le match, il était allé la voir pour savoir pourquoi. Il croyait qu’elle voulait faire « perdre l’équipe » en déstabilisant un de ces piliers. Après une discussion animée et arrosée, elle lui avait déclaré qu’elle avait le béguin pour lui. Mrs Muscle avait été clair et sèche avec elle, je m’en souvenais parfaitement car j’avais été choquée de son ton si brusque. « Ma jolie, tu es belle à faire bander un cheval de compète. Je serais ton étalon Mais ATTENTION, une NUIT. Je ne m’attache pas moi …. Je suis un équidé sauvage ». Pour reprendre ces mots, je ne savais pas comment il faisait mais même avec 1 litre d’alcool dans le sens, il pouvait encore faire de la prose.

Avec Ange, on s’était arrêt un pageote de la place qui servait des glaces vertigineuses. Je pris la plus grande qu’il avait. Ce fut une magnifique coupe de glace aux fruits d’été.

On avait beaucoup discuté et partager des choses, cela m’avait vraiment fait du bien à moi aussi.

- Tu sais, tu devrais aller le voir… Dis-je après l’avoir vu regarder son téléphone pour la 10e fois.

On était arrivé en début d’après-midi, cela faisait déjà quelques heures qu’elle n’avait pas parler à son bien aimé, il était vraiment temps qu’elle y aille, selon moi.







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Sam 2 Juin - 10:26



 
Spring Break


J’étais heureuse que Brigitte aie acceptée d’aller marcher un peu avec moi, je commençais à me sentir mal à l’aise prêt de ce McCree.

« Je sais bien qu’il est un gars bien, mais parfois ces manières de faire m’insupportent. Je suis venue ici pour lui faire plaisir et finalement je me retrouve à lui faire la gueule car il a eu un compliment d’une demoiselle en chaleur. Tu sais, je n’ai pas spécialement besoin de voir les pom-pom girls, il y a déjà assez de filles qui attendent qu’il soit de nouveau libre pour se le taper. Donc si elles font la file d’attente, c’est qu’il n’a pas sauté dessus. »

J’achetai une coconuts d’une taille moins spectaculaire que ce que Brigitte pris, et je payai les deux glaces. Alors que nous mangions, nous continuons de parler de Reinhardt et de ces qualités. Toutes les minutes, je regardais mon téléphone pour voir si mon bel allemand m’avait envoyé un message. C’était vraiment agréable de parler avec Brigitte, elle était une petite sœur pour mon Wilhelms et ça faisait du bien de savoir qu’il pouvait avoir une amitié sans sous-entendus avec une demoiselle.

« Oui tu as raison, je vais aller le voir, ça ne devrait pas être trop dur de le retrouver. »

Je la remerciai une fois de plus pour son écoute puis je me mis en marche pour retrouver mon amoureux.

Me renseignant à droite, à gauche, je commençais à remonter sa piste vers le bar de l’hôtel, puis la plage avant de le trouver au terrain de Beach Volley. Il venait de faire un super smash et il marquait un point. Je souris pour lui. A voir son attitude et sa manière de se déplacer, il avait déjà consommé de l’alcool. En même temps, n’est-ce pas ça le spring break ?

Je me retournai, laissant derrière moi le terrain de Beach Volley pour me diriger vers le bar. Je commandais alors deux verres de bière, un gros et un medium. Alors que j’attendais qu’il me serve, je remettais mes cheveux en place et regardant dans un miroir posé là, si j’étais assez belle pour le chevalier de mon cœur. Alors que j’attendais, bien entendu un mec vînt discuter avec moi, je lui mis le plus beau vent au monde.

Remontant la plage pour aller vers le terrain de Beach Volley, les deux verres à la main, je le voyais au loin faire ces poses de culturistes pour montrer ces muscles. Hum, il était vraiment beau comme ça. Il avait gagné son match et les filles l’entouraient pour j’imagine tenter de le séduire.

« Mesdemoiselles, vous n’avez aucunes chances d’obtenir quoi que ce soit de lui. Son cœur est déjà pris et en plus, j’emmène de quoi féliciter le gagnant. »

M’approchant de lui, je déposai dans sa main le grand verre de bière.

« A moins qu’il préfère célébrer sa victoire avec une autre sorte de breuvage. » Lui dis-je en lui faisant un regard évitant tous malentendus.





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Sam 2 Juin - 13:47


 
 

 

 Spring Break
Je fus plus que surpris de voir Angela me servit une chope de bière. Ce n’était son genre d’alimenter mon addiction.

- Essayeras-tu de te faire pardonner ma belle ?


Elle fit une allusion qui ne fit qu’un tour en moi.

- Hum alléchante proposition. Dis-je

Je fis signer à mes amis que je les quittais. On marchait ensemble le long de la digue

- C’est mon message qui t’avait changé d’avis ? Demandais-je.

Elle eut un air surpris

- Tu n’es pas encore passé dans ta chambre ?

- Ok… Je te conseille d’y aller jeter un cou d’œil.

- Mais avant ma belle. Dis-je en lui prenant les lèvres, je lui fis un baiser brûlant.


La soirée n’allait pas tarder, beaucoup d’étudiant étaient été partie se préparer à une soirée de folie.

- Allons-nous préparer pour la soirée, on se rejoins pour Diner et puis pour danser. Sa te convient ma belle ?

Je l’embrassai de nouveau. Je l’aurais bien pris là tout de suite sur la plage. Angela n’était pas assez enivrée pour accepter une chose pareille en public.

L’hôtel que nous avions, était All In. Il y avait donc plusieurs cafétaria proposa chaque une restauration. Au sous-sol, il y avait le grand buffet, au bar intérieur s’était italien et à l’extérieur plutôt fastfood. On avait donc convenu de se rejoindre dans le petit salon de la réception. Le soleil rongeait à l’horizon, lorsque je descendis. Le DJ se préparer à animer la fête des étudiants, comme dans la journée, il était sur son estrade mais cette fois-ci devant la piste et non devant la piscine.

J’avais opté pour un short clair, une chemise à motif et basket. Une tenue habillée mais parfaite pour le temps et pour pouvoir se trémousser.

Angela arriva, elle était sublime dans sa longue robe blanche et or, avec un décolleté savoureux. Elle fit quelques pas vers moi, sa tenue laissée dévoiler une jambe, à chacun de ces pas.

- Mon dieu. Laissai-je échappé.

Comme si je venais d’avoir une apparition divine. Elle sourit.

- Allons-y ma chère si vous ne voulez pas que je devienne indécent.


Je lui pris ma main et allions au resto intérieur. J’opta pour des pâtes aux fruits de mer avec une soda. Je voulais garder mes esprits pour la fin de la soirée.

Angela ne m’avait toujours rien dit sur mon poème. Elle devait l’avoir lu depuis le temps.

J’avais prévu après manger, une balade sur la digue pour digérer avant de danser. J’étais un assez mon danseur à ce que pouvait penser les gens. Et Angela n’avait jamais eu la chance de voir mes talents. Fils d’ambassadeur, j’avais eu droit à des cours de bien séance qui prenait quelques cours de dance pour ne pas faire honte à la famille durant certaine soirée. J’avais bien sur quelques préférences, surtout les danses langoureuses comme la salsa ou le RNB, tellement pratique pour le « coller-serer ». Ca m’était vachement bien en jambes pour la suite.


 

 




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Sam 9 Juin - 20:30



 
Spring Break


Alors que je venais de lui donner la bière, il me fit une remarque par rapport à ça.

« Non mon cher, je sais juste que nous sommes en plein Spring Break et que je ne vais pas t’empêcher de dépasser tes limites. »

Nous nous mirent alors à marcher ensemble le long de la digue, quand il me parla d’un message ?

« Un message ? Quel message ? Non je n’ai pas vu de messages. Non je ne suis pas encore passée par ma chambre non plus. J’ai mangeait une glace avec Brigitte avant de venir te voir. »

Il m’embrassa alors d’une folle passion avant de me proposer que l’on aille se changer avant de diner, puis de danser. Danser ? Mais je ne sais pas danser moi.

« Oui bien sûr, je serais ravie de cette soirée. J’espère juste que l’on ne s’arrêtera pas en si bon chemin. »

-

Une fois revenue à l’hôtel, je pu voir le papier qu’il avait glissé sous ma porte. Je le pris, referma la porte derrière moi et alla le lire sur le lit. Je ne pensais pas Wilhelms porté sur le fait d’écrire un si beau poème. Après l’avoir lu trois fois, je le pliai délicatement et la posa sur ma table de nuit. Je me dirigeai alors vers mes vêtements et sorti la plus belle robe que j’avais prise, je sorti aussi la lingerie qui allait avec. Je pris le temps de me recoiffer et de me maquiller avant de me rendre compte que Wilhelms devait sûrement m’attendre depuis un bon moment en bas.

Je descendis par les escaliers, et aperçu Reinhardt au point de rendez-vous.

« Tu peux simplement m’appeler Angela très cher. »

Je rigolais suite à ma blague et le laissa me prendre la main. Ensemble, nous nous dirigions vers le buffet. Je me laissai tenter par une salade et une part de pizza quatre fromages avec de l’Ice Tea. Le repas passé, nous nous dirigions sur la digue pour marcher un peu. Main dans la main, de manière trop romantique à mon gout, je commençais à me dire que ça ressemblait un peu trop à des vacances d’amoureux. Je voulais pimenter un peu le truc. Alors que nous marchions pour retourner sur la piste de danse, je lui glissais à l’oreille.

« Petite question, quel endroit hors d’une chambre d’hôtel te tenterait bien dans le coin ? Moi je trouve que la plage, sous la lune, ça serait génial. »

Alors qu’il tenta de me prouver qu’il aimerait bien aussi, je faisais comme si je n’entendais rien et nous arrivions sur la piste de danse. Ils passaient actuellement du RNB bien lourd, avec des danses bien chiantes. Wilhelms, voulait à tout prix me montrer comment il savait bien danser et moi j’arrivais rapidement à lui montrer que je n’avais pas le moindre talent pour ça. Je profitais quand même pour l’embrasser le plus possible, tout en passant mes bras autour de son cou.

« Je vais nous chercher de quoi boire, je suis super chaude et j’ai super soif. Attends-moi là. »

Je savais bien que l’allusion que je venais de lui faire allait lui faire le plus grand bien à sa libido. Arrivé au bar, je tentais d’appeler le serveur comme je pouvais.

« Une bière large et un mojito s’il te plait. »

« Angela, je pensais pas que tu serais dans ce club ce soir. Je vois que tu t’es remis avec ton copain, c’est génial ça. »

Je me retournai pour voir Jesse McCree. Il avait une petite chemise noir juste assez ouvert, pour laisser voir un peu son torse et son tatouage sur son bras. Il était assez beau gosse dans cette tenue.

« Merci. Oui je n’aurai pas dû penser du mal de lui, il est génial et fidèle. »

« Angela, sincèrement ? C’est ce qu’il veut te faire croire. Tu sais, j’en connais pleins de mecs comme lui qui se ventes derrière auprès de leurs potes qu’ils ont couchés avec tel ou tel fille. Tu es une fille bien Angela tu ne mérites pas d’être avec lui. »

« Tu vas me faire croire, que je mérite mieux d’être avec un gars comme toi ? »

« Non ce n’est pas ce que je dis, je dis juste, que tu perds ton temps avec lui. »

« Je préfère perdre mon temps avec lui, que de le perdre en parlant avec toi. »

Je pris mes commandes, puis voulu partir, quand il me prit le bras.

« Angela, attends, laisse-moi t’expliquer. »





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Brigitte
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Sam 9 Juin - 21:26





 
 
Spring Break


Après ma promenade avec Brigitte, j’étais retourné voir les membres du forum. Il était tous très sympa, mais il y avait quelques choses en Jess me rendait nerveuse. C’était vrai qu’on le considérait comme le « Chef », il avait l’étoffe d’un meneur. Mais je trouve que pour quelqu’un rencontrer sur un forum pour étudiant marginal et en décalage avec les autres. Il avait l’air du beau parleur sportif et populaire. Rien avoir avec les autres.

Dans notre groupe, il y avait Romain, j’avais beaucoup tchater avec lui. C’était mon chouchou. Il avait 18ans, il était gothique, métalleux, romantique et mélancolique. Mais surtout il avait une tête et un talent pour la musique et la mécanique. C’était également une de mes passions. On avait souvent discuté pendant des heures de robotiques. Il participait au concours national, j’avais également l’intention d’y aller, et pour une fois, mon père était d’accord. Il trouvait que c’était un bon tremplin pour moi.

Ce que je venais de remarquer avec cette rencontre, s’était qu’il était super séduisant. Il était très élancé, ces cheveux ébènes et son teint de porcelaine, lui donnait des aspects vampiriques. Si mon père le voyait il essayerait de le gaver comme une oie, tellement il a mince. Mais ce qui l’aurait plus choqué, c’est son apparence androgyne. Son visage était très fin, tel celui d’une fille. Il n’avait pas l’air d’en jouer et rester un homme. Peut-être qu’une coupe de cheveux encore plus courte aiderait davantage.

Je passais donc toute ma journée et ma soirée avec eux, et surtout avec Romain. Juste avant qu’on se réunisse pour manger un Pizza. Romain me prit à partie, j’étais assez malaise. C’était la première fois, que je me retrouvais seule avec un garçon. J’aurais bien voulu que Willems ou même Angela soit là. Je ne gardais mes pieds, n’osant pas le regarder dans les yeux par peur. Je croisai son regard et compris qu’il était dans le même état. Il se gratta la tête et soupira.

- Je ne suis pas alaise avec les relations sociales. Dit-il. Encore plus avec une fille… et 100x plus quand elle me plait.

Je rougis
- Ça va Brigitte. Entendis-je derrière mois. Je reconnu cette voix enjouée. C’était Torbjorn, un ami de Willems. C’était également mon binôme pour le concours de Robotique.
Il était accompagné par une grande blonde style suédoise, je la connaissais de vue, elle était dans notre cours de math.

- Eh oui ça va. Dis-je timidement.


- N’oublie pas tes cours autodéfenses… Me dit-il avec un clin d’œil. Sinon j’appelle le grand musclé. Dit-il en faisant référence à Willems.

- Oui cela ira… Dis-je malaise

Puis il partit avec sa blonde et sa brune…eh sa bière.

- Désolé. Dis-je à Romain

- Je croyais que tu n’avais pas d’ami. Me dit-il

- C’est compliqué… enfin Tor est mon binôme en physique appliquée.

- Ok… il a l’air quand même vachement protecteur. Rétorqua-t-il

Je sentis une pointe de jalousie.

- Hé… Dit je ne sais pas ce que tu crois… Mais c’est comme un grand frère. Il doit vouloir me protéger, vu que je suis encore mineur.

- Mineur… d’ici quelques mois, tu auras 18ans. On en parlerait plus.  


J’étais encore plus mal, je pensais avoir déjà dit à Romain, mon âge mais je devais avoir hormis la chose.

- En faites, j’ai que 15ans. Lui dis-je entre les lèvres, le regardant des coins de l’œil.

Difficile à croire mais il fut encore plus pâle que d’habitude.

- Ça ne fait rien. Lui dis-je en lui prenant la main.

- Je savais que tu avais sauté des classes mais pas à ce point. T’es un génie alors ? S’enchaina-t-il de dire.
Cela se bousculait dans sa tête.

Je l’embrassai doucement et maladroitement, cela fut mon premier baiser.  Il comprit à mon geste que je ressentais les mêmes choses que lui et que c’était nouveau pour moi. Il me sourit les yeux brillants de tendresse.

- Allons diner. Dit-il en me prenant la main.

Le groupe n’avait pas vraiment convenu de profiter des soirées, mais d’aller se promener sur le long de la digue et de trouver un endroit tranquille. Cela allait être difficile avec le nombres de soirée, de bar et d’échoppe encore ouvert jusqu’à tard dans la nuit.

Après des kilomètres de digue avec Romain, je lui proposai d’aller boire un verre. La piste de dance et le bar de l’hôtel était bondé. Je n’eus aucun mal à remarquer Reinhardt sur la piste de danse. J’avais entendu dire qu’il était assez bon danser. Mais vu la musique fallait pas vraiment danser mais juste suivre le rythme. Au bar, je vis Angela et vit suivie par Jesse. La discussion n’avait pas l’air de plus amicale.

« Angela, attends, laisse-moi t’expliquer. »

Il lui prit le bras. Il avait de voir insister… Elle lui montrait bien qu’il ne voulait en démordre. Mon sang ne fit qu’un tour. Mon poing fracassa son visage.

- La demoiselle ta dit de la laisser tranquille. Dis-je en répétant les mots que Willems avait dit en faisant le même chose pour me protéger.


Je secouai la main, « Putain » cela faisait plus mal que je pensais. Romain vint à mon secours, il avait vu la scène, il avait déjà commandé un verre de glace pour ma main.

- Je n’aime pas qu’on touche à mes amis. Dis-je


Il me sourit sans rien dire. Il n’avait jamais été un grand bavard mais rien que sa présence me rassurait. Jesse avait préféré filer sans dire un mot.

Il avait un mouvement de foule avec mon geste qui avait ramené le grand Allemand. Il se demandais ce qui se passait.


 

 




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 ►Véritable nom :
Reinhardt Wilhelm


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Sam 9 Juin - 21:54


 
 

 

 Spring Break
Durant notre promenade digestive, Angela fit des sous-entendus plus que surprenant

« Petite question, quel endroit hors d’une chambre d’hôtel te tenterait bien dans le coin ? Moi je trouve que la plage, sous la lune, ça serait génial. »

Elle savait très bien que tous les endroits m’allaient, mais je n’étais quand même pas du genre à vouloir un public non plus. Je m’étais toujours débrouiller pour les lieux soit vide ou discret des regards.

Je ne sus pas quoi répondre, j’en avais le souffle couper. Enfin c’était mon cerveau qui prenait tout l’oxygène pour m’envahir de penser non orthodoxe.

De retour à l’hôtel, j’entrainai ma belle sur la piste de danse. Elle n’était pas alaise cela se voyait.

- Laisse-toi guider ma belle.

Je lui susurrai des choses l’oreille.

- La dance s’est comme des préliminaires, tu effleure l’autre rythme de son corps et de la musique.
- Laisse tes mains te guider et laisse le mienne de te montrer le chemin.


Tout était une question de sous-entendu. Nous étions si collés serrer, si proche, pas besoin de deviner mes désirs. J’aurais bien voulu plus conduire mais madame était encore trop tendue pour espérer faire des chorégraphies. Heureusement, le RBN laissa plaise à de la Techno qui ne demandais pas de danser mais juste de remuer en rythme. J’aimais moins, elle proposa d’aller chercher à boire. Peut-être un peu plus inhibée, elle se détendrait un peu plus. Aussitôt partie deux jeunes filles, prière sa place. Celle-ci savait danser aucun doute. J’en profitais un peu sans être trop rapprochée d’elle. Je n’allais pas mettre du feu ou il fallait de l’eau.

Tout à coup, j’entendus du mouvement en direction du bar, inquiet je me précipitai pour voir ce qu’il se passait. Angela était là accompagnée de Brigitte et d’un jeune homme qui je ne connaissais pas. Je voyais bien qu’un truc s’était passé puisque la demoiselle avait sa main dans son verre de glace.

- Il y a un souci ici.

Tous les deux me dirent en cœur que non. J’arqua un sourcil pour montrer mon doute. Je n’eus pas le temps de faire un interrogatoire que Angela m’emporta avec elle.

- Hé ça va. Lui demandais-je pour essayer de la freiner dans son empressement.


Elle m’embrassa sauvagement, avec une telle fougue… que mon esprit oublia totalement mes doutes. Je n’avais plus qu’une envie…la prendre là tout de suite ou dans l’ascenseur, …. Peut importe l’endroit.

- Oh du calme… Lilith… Sinon je vais avoir du mal à me retenir. Dis-je en faisant référence à la déesse de la luxure et de mon poème



 

 




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Dim 24 Juin - 19:50



 
Spring Break


Au moment où Jesse me saisit le bras, j’aurai espéré que Wilhelms apparaisse et lui fracasse la tête d’un coup de poing. Mais, même si son visage reçu un coup qui l’envoya en direction du bar, ce ne fut pas de mon partenaire qu’il vînt, mais de Brigitte. Surprise, je regardais en sa direction. Ces mots, on aurait dit Reinhardt. Un homme arriva avec des glaçons pour sa main.

« Merci Brigitte, merci. Mais sincèrement je préfère que ça reste entre nous ce qu’il vient de se passer. Je ne souhaite pas que Wilhelms le … »

« Il y a un souci ici ? »

« Non non mon cœur. Brigitte a simplement un peu mal à sa main donc nous regardions. »

Par chance, Jesse n’était déjà plus dans les parages et rapidement le mouvement de foule vers nous se dispersa. Je pris la main de Reinhardt et l’entraina vers la piste tout en faisant un clin d’œil vers Brigitte qui me fit un signe de la tête avec un sourire. Alors que Wilhelms recommença à me poser une question pour savoir si tout allait bien, je me retournais vers lui et l’embrassa chaudement. Alors qu’il me demanda de me calmer, je lui fis un sourire.

« Qui te dit que j’ai envie que tu te retiennes ? »

J’approchai ma bouche de son oreille.

« Il me semble que ma chambre est plus proche que la tienne. »

Je l’embrassai alors à nouveau lui tenant la tête entre mes mains. Rapidement, il m’emmena vers la sortie de la piste de danse, puis vers l’ascenseur. Attendant que les portes s’ouvrent, je ne pouvais quitter ces lèvres et je sentais que ces mains auraient voulus se poser sur des parties plus sensibles de mon corps. A première vue, nos embrassades passionnées ne choquaient personnes. Entrant dans l’ascenseur, nous profitions de notre solitude pour qu’il me porte contre lui et qu’il me plaque contre le mur, continuant à nous embrasser. J’aurai tellement voulue qu’il me prenne là tout de suite, mais il y avait un pas entre un excès de baiser et passer à l’acte ici. Pas que je ne voulais pas franchir et qu’il comprit rapidement que je ne franchirai pas ce soir. La distance du couloir à ma porte fut horriblement longue, s’arrêtant de temps en temps pour nous ré-embrasser. Une fois devant ma chambre, il me fallut quelques longues secondes pour retrouver mon pass sous les attaques de Wilhelms qui tentait de m’embrasser dans le cou. Hey, mais est-ce qu’il ne venait pas de me faire un suçon là ? Finalement, la porte s’ouvrit et je le poussais à l’intérieur, refermant directement derrière moi. Alors qu’il voulait m’embrasser de nouveau, il posa mes mains sur mes fesses. Je le forçais à reculer, jusqu’à ce qu’il tombe en arrière quand ces jambes furent bloqués par le bas du lit. Lit dans lequel il tomba. Je grimpai alors sur lui, le chevauchant et remontant lentement pour que ma tête arrive au niveau de la sienne.

« Alors monsieur. Il parait que vous voulez me montrer la quintessence de la puissance germanique ? »






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Dim 24 Juin - 20:38


 
 

 

 Spring Break
- Oh diable qui êtes-vous. M’exclamais-je lorsqu’elle me jeta dans le lit et me chevaucha.

Je l’aurais bien pris dans l’ascenseur mais je connaissais ma belle et ces limites, néanmoins je n’espérais pas y arriver un jour.

« Alors monsieur. Il parait que vous voulez me montrer la quintessence de la puissance germanique ? »

Je fus très amusé car c’était une de mes phrases fétiches lorsque je jouais au football. Madame l’utilisait dans d’autre circonstance, c’était terriblement érotisant.

- Et si vous me montiez votre jeu ? J’aimerais bien voir si la suisse est aussi douée que ma Germanie sauvage. Dis-je amusée et excité.


Elle arqua les sourcils, elle avait très bien compris que je ne tiendrai pas. Elle s’était terriblement sexy dans sa robe blanche moulante. La chaleur de pays et de nos corps, nous faisait transpirer, ne laissant rien deviner sous sa tenue.

Mes mains étaient passée sous les volants prendre ces hanches. Je pouvais sentir du bout des doigts la fine lingerie qu’elle portait. Elle avait donc prévu l’issus de cette soirée, la petite coquine. Je sentais chacun de ces mouvements sur les parties les plus sensible de mon anatomie. C’était l’électrisant. Il y avait longtemps qu’une femme ne m’avait pas dominé. Cependant, je sentais qu’elle n’était pas prête à prendre le dessus.

Je le pris ces lèvres avec gourmandises et avidité. Je la voulais, je la désirais… Elle avait déboutonné ma chemise, je sentais sa peau douce sur mon torse. Mes doigts se baladaient dans ces cheveux pendant que nos langues dansèrent entre elles. Je descendis une des bretelles de sa robe, libérant un sein. Je ne pus m’empêcher de gouter au fruit défendu. Ces murmures de plaisir étaient une douce mélodie à mon oreille. Nos désirs, nos envies, notre passion échauffait la pièce et nos corps. Je la sentais fébrile, ses gestes et ses sons criaient « prend-moi » « j’ai faim de toi ». Je souris, laissant glisser sa robe, dévoilant tout haut dévêtue. Je lâchai un soupir de contemplation. Elle était si belle, je ne pus résister longtemps à l’appelle de son corps.

Je constatais qu’elle prenait discrètement les choses en main. Mon short et mes sous-vêtements glissaient doucement. Maintenant, je sentais sa lingerie contre mon intimité. Grisant. Nos bouches étaient en feu, elles avaient du mal à se quitter. Je continuais à sculpter ses courbes et à les combler de baiser. Nos rythmes cardiaques s’accélérais, nos corps vibraient et nos souples étaient court. Elle ne demandait pas encore son dû. Comme si on attendait que l’autre fasse le premier pas.

Je fis enfin ce que nous attendions tous les deux. D’une main assurée et experte, je plongeais dans sa culote pour découvrir plus en détaille la dentelle qui l’habillait. Rien que l’effleurer du bout des doigts, elle palpitait. J’avais envie de la surprendre, je me frayai donc un chemin vers les coulisses de son ardeur. Je la pénétrai, telle un spadassin sur le cœur de sa proie. Elle laissa échapper un cri aigu. Je souris de satisfaction. Elle se courba sur moi sur la stupeur, je l’embrassais dans le cou et continuais à alimenter son feu, jouait avec ces zones érogènes. Elle se mit donc en danser en rythme pour notre plus grand bonheur. Le tissu sur ces hanches me coupait la vue sur le jeu de notre plaisir. Je passai au-dessus d’elle pour la retrouver nue avec ces sous-vêtements en dentelle blanche.

- Tu es divine. Soupirais-je

- Hum… tu dois être un ange…


Que j’avais certainement perverti. Notre ballet érotique était intense, torride, s’était comme si on s’était privé pendant des mois et qu’on se retrouvait. Lorsque son cadence ralentissait, je prenais la relever car mon appétit du jour était démesuré.


 

 




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Spring Break [Wilhems & Ange -18]

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Overwatch : The Recall-