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 Joyeux anniversaire [Ange, Reinhardt, Soldat vs la Griffe]

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Dim 29 Oct - 9:43

[HRP]Ce roleplay n’a pas d’ordre de passage, du coup tout le monde peut répondre quand ça lui chante. Au niveau des deux groupes, il s’agit d’un 3vs3 entre d’un côté Ange, Reinhardt et Soldat contre de l’autre côté un groupe constitué par Faucheur et deux membres de la Griffe à son choix.[fin du HRP]

C’était le jour de l’anniversaire d’Ana. Je savais avec tous les messages qu’ils avaient mis, qu’ils allaient frapper aujourd’hui. Afin de réduire les risques, j’avais pris toutes les précautions possibles.

Premièrement, Ana n’était pas réellement là, il s’agissait d’une actrice de petite taille que nous avions le plus discrètement possible habillé et maquillé pour qu’elle ressemble à notre fille. La vraie Ana se trouvait en réalité chez des amies à elle, qui étaient sous la protection discrète d’une équipe de mercenaire que j’avais grassement payé. Cette histoire commençait à me couter très chère et j’avais dû pour la cause détourner un peu d’argent de l’hôpital. Bien entendu je n’en avais pas parlé à mes compères. Le vrai anniversaire d’Ana était repoussé de quelques jours.

Second point, j’avais travaillé d’arrache-pied pour rendre mon armure Valkyrie à jour. Elle avait désormais une forme rétractable en deux pièces, qui se trouvait au niveau de mes hanches et de mon torse. Ainsi, je pouvais cacher sous cette forme l’armure sous des vêtements. En version déployée, elle cachait l’intégralité de mon corps. Elle pouvait injecter jusque quatre doses de nanoparticules régénératrices et déployer des ailes de lumières capables de réduire les chutes. Au besoin, si je booster toute la puissance sur les ailes, je pouvais voler, mais cela ne durait qu’une minute. Mon bâton Caducée, pouvait envoyer des nanoparticules aussi, régénérant les blessures, boostant les capacités musculaires et cérébrales, je pouvais même ramener à la vie quelqu’un qui était mort depuis moins de quatre minutes. Ce bâton était actuellement caché dans le salon. Enfin mon fidèle pistolet était entièrement chargé et se trouvait attaché à ma hanche droite, bien caché.

Troisième point, pour Willem, j’avais envoyé un groupe chez lui prendre son armure et son marteau. Quand je vis l’état dans lequel il était, mon cher chevalier m’avouer que c’était la seule chose qui était entretenu chez lui. Mais il ne pouvait pas être en armure pour le faux anniversaire. Le tout était donc caché dans sa chambre. En attendant j’avais acheté à un industriel allemand une version miniature de son bouclier rétractable qui tenait dans un bracelet d’argent. Quand je disais que tout ça commençait à me couter cher. Son bracelet avait aussi un aimant à fréquence différé qui agissait avec son marteau pour soi-disant le faire venir au besoin, mais je n’y croyais pas tellement.

Quatrième point, le commandant Jack Morrison était là. Il portait une tenue civile et il s’occupait officiellement du barbecue. Le but était de le faire passer pour un vieil oncle à moi. Il n’avait pas l’air d’avoir apprécié le « vieil » quand j’avais expliqué le plan. Son arme était caché dans un meuble sous le grill avec ces lunettes de vissée. En tout cas, lui et Willem avaient longuement discuté dans mon dos. Il fallait dire que j’étais assez sur les nerfs et facilement énervable ces derniers jours, mon beau chevalier avait même dû dormir dans sa chambre deux nuits de suite après m’avoir demandé de laisser le commandement de cette mission entre les mains de Morrison.

Il était 12h, et nous commencions officiellement l’anniversaire sur la terrasse. Le barbecue tournait à plein régime et la fausse Ana faisait semblant d’ouvrir son premier cadeau.




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 ►Véritable nom :
Reinhardt Wilhelm


 ►Localisation :
Allemagne


 ►Affiliation :
ex-agent d'Overwatch


 ►Equipement :
Armure de titane et marteau

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Reinhardt
Reinhardt
APPELEZ MOI L'EMPALEUR
Dim 5 Nov - 20:40


   
   

   

   Joyaux anniversaire Ou pas
Ange perdait complément pied. Elle faisait vraiment des choses irréfléchies, risquant même la vie d’autre personne. Toute cette mise en scène ne rimait à rien. Bon, elle avait quand même eu l’intelligence de me ramener mon équipement et de faire confiance à quelqu’un de biens : Jack.

Je trouvais cela encore plus dangereux que de laisser Ana près de nous. Chez ces amies, elle était encore plus vulnérable à une attaque. Nos ennemis n’étaient pas n’importe qui, il allait bien s’apercevoir de quelques choses. Il avait des chasseurs d’élites, leur yeux verront bien que la cible n’est pas la bonne.

- Ange tout cela ne rime à rien… tu dépense ton argent et tes forces pour rien… Viens avec moi en Allemagne, juste pour te ressourcer… Ana sera ravie de voir ses origines, cela serait un super cadeau pour elle. Dis-je pour la millième fois.

Ma patience avait de limite… J’étais sur le point de perdre mon calme si elle continuait ainsi.  J’étais sûr que notre ami aussi. Mais vu qu’il n’était pas très bavard, c’était un peu difficile de savoir ce qu’il pensait vraiment.

- Tu ne peux pas m’aider toi à la raisonner… Criai-je

Il me lançait son regard froid, ne laissant qu’échapper le strict minimum.

- Il n’y a que moi qui sois un minium sensé ici ? C’est quand même un comble. Grondais-je

J’avais préféré m’échapper des préparatifs de cette phrase sans nom. Je partais donc pendant des heures à marcher et essayant de trouver une solution à ce merdier. Et quand je rentrais, j’avais droit à la foudre d’Angela.

- Angela tu fais chier… T’a été une bonne mère jusque-là mais maintenant tu te conduis comme cinglée, cela ne te ressemble pas… Reprends-toi !  Si tu ne le fais pas, je m’en vais….AVEC NOTRE FILLE.

Bien sûr cela ne fit qu’un tour dans sa tête et mis le feu où il ne fallait pas.

- Merd… Quoi, il y a encore une semaine, j’ignorais que j’avais une fille. C’est pourquoi je réagis de façon distante et REFLECHIE… Cela te touche de trop… c’est normal c’est pourquoi on ne doit jamais gérer SES affaires PERSONNELEMENT. Tu es entrain de risque notre vie, celle des acteurs et celle de notre fille qui pendant ce temps serait sans surveillance.


Elle commençait à dire des choses très blessantes et insensées. Je la pris par les bras et la souleva comme un feuille.

- Ne me force pas à faire une chose que je regretterais… qu’on regretterait. Dis-je les yeux plein de haine.

Je la laissai tomber par terre. Et retourna dans ma chambre, je ne voulais plus entendre parler de cette histoire et commençais à faire mes baguages. Jack vient me parler comme il savait si bien le faire, c’était bref, mais il avait raison. Je soupirais, c’était plus dangereux que je parte.

- Bon, je ne pars pas très loin, je serais là pour l’anniversaire. Dis-je

Il n’avait pas l’air d’accord, mais s’il voulait qu’on ait les idées claires, on n’avait pas le choix.  Sans rien dire, je pris la voiture d’Ange. Trop en rage pour remarquer mon départ. J’avais laissé mon armure à l’endroit qu’on l’avait placé pour la sécurité durant la fête. J’avais juste laissé un message sur le lit : « Je pars… Reprend-toi pour la vie de notre fille. Réfléchit à tes actes. Willem »

La nuit avant l’anniversaire, je sonnai à la porte. En réalité, j’avais suivis la petite et Ange durant tout ce temps. J’avais quelques courbatures à force de dormir dans l’auto. Je ne savais pas si Angela allait me laisser entrer ou pas. J’eus la chance que oui mais elle ne dit pas un mot, mais ces yeux était plein de rage. J’espérais qu’elle allait être meilleur actrice pour demain.

   

   

   




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 ►Véritable nom :
Gabriel Reyes (?)


 ►Localisation :
Dans les ombres


 ►Affiliation :
Talon occasionnellement


 ►Equipement :
Pompes funèbres : Deux fusils à pompes

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Mort au combat.
Mort au combat.
Death takes us all
Mer 6 Déc - 17:59



Joyeux Anniversaire
RP Libre



Comme l’ambiance qui raisonnait dans ce petit jardin de résidence pavillonnaire semblait joyeuse, là où le soleil brillait d’un éclat couvrant les horizons d’un filtre de faux jours heureux. Surement qu’il aurait pu y rattacher d’autre souvenir à l’odeur de la viande qui braisait, puisqu’un certain cow-boy avait cette fâcheuse tendance à brûler tous ce qui lui semblaient d’origine animal voilà des décennies, mais ce serait surestimé son odorat mort depuis longtemps. Comme bien d’autres choses perdus dans la tombe… N’en parlons plus ! Ce petit détail n’allait pas gâcher la fête, songea t-il avec miséricorde. Perché sur un toit de garage, à couvert d’arbres touffus, ses yeux sanguins toisèrent ce qu’il pouvait contempler à travers une toile d’aplats de rouges et de noirs. Ils s’arrêtèrent plus précisément sur le vieillard bien peu costaud à côté de son camarade germanique.

« Et bien quelle surprise… » marmonna-t-il d’une voix d’outre-tombe en passant ses mains brumeuses devant son visage pour les inspecter, comme on vérifierait la fiabilité d’une arme avant de se jeter dans la bataille. Il tenait sur son épaule une espèce de package militaire comme ceux que possédaient les agents de terrains d’Overwatch. Avec une inspiration il laissa l’esprit de la fête l’emporter car il voulait être un invité particulièrement apprécié de la journée. Son corps glissa doucement dans un entre-deux lieu, ses pieds s’enfonçant dans une flaque goudronneuse et brumeuse se format sous lui. Il réa-apparut un peu plus loin, derrière le muret qui séparait cette résidence et sa voisine, juste devant le lieu où l’ancien commandant d’Overwatch s’adonnait à faire des grillades pour des fêtes de maternelles. Sans tarder il se glissa dans les fentes de bois qui le séparaient des festivités, la brume apparaissant en face du barbecue qui cuisait paisiblement. Le corps du Faucheur se reforma fébrilement, à peine sa jambe fu-t-elle matérielle qu’elle donna un grand coup dans l’accessoire de jardin rependant les braises par terre. Alors que les ténèbres finirent de dévoiler sa présence, ses yeux rouges s’écorchèrent sur les lunettes azurées cruellement démodées du plus vieux. Cette proximité avait au moins le mérite de lui donner la pleine et totale confirmation sur la personne qui se tenait devant lui, aussi surprenante soit son implication. Et ne pas le faire oublier qu’il avait trois anciens agents en face de lui. D’abord il fallait désamorcer la menace la plus proche et la plus têtue qu’était Morrison. Ses armes se matérialisèrent en quelques millième de secondes dans ses mains alors qu’il analysait la situation. Pas d’armes visibles, remarqua le spectre avec urgence, avant qu’il ne remarque le socle sur lequel reposait avant le grill.

Toute son arrivée fut si brusque et si rapide qu’il n’eu pas le temps de saluer ses anciens collègues, ce qu’il se hâta de rectifier le tir de sa voix caverneuse.

« Bonjour, Angela, Jack… » Il toisa Reinhardt qui avait un jour était son ses ordres. « … Les autres. » Son corps faisait ostensiblement barrage entre le meuble et le plus proche dans le doute. « J’ai raté ma chance d’être le parrain, alors je suis venu me rattraper. A commencer par ramener des invités. » Il lança lourdement le sac au milieu du jardin. La tirette était à moitié ouverte et on pouvait y décerner des grands paquets cadeaux aux formes biscornues. « Ce sont tes collègues de travail Angela ! Fêter un si grand anniversaire à quatre ça n’est pas très respectueux pour la… ‘’petite’’. »

Peut-être avait-il réussi à exposer son petit speech d’introduction sans être interrompu mais ça ne durerait pas longtemps. Willem semblait désarmé et était encore à quelques mètres et il espérait avoir gagné un peu de temps avec Ange en ramenant du ‘’monde’’ à l’anniversaire d’Ana mais empêcher le plus gradé d’accéder à une arme semblait être le plus impératif alors il s’accroupit brusquement, anticipant un coup qu’il imaginait aisément venir amorcer un combat singulier visant à attendre l’opportunité de lui infliger une immobilisation momentanée. Il était paranoïaque mais connaissait bien la bête. Il attrapa une bouteille d’allume feu qui s’était échoué par terre et la perça de ses griffes acérées rependant le produit et le laissant couler jusqu’au braise encore frétillante. Il avait dans l’espoir que la zone s’embrase et empêche son fidèle compère d’atteindre une quelconque arme pendant qu’il s’occuperait de ses anciens subordonnés.







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Administrateur
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Dim 18 Mar - 20:05



Joyeux anniversaire.
Ange, Reinhardt, Faucheur.


Bras croisés contre le torse, lourdement adossé au mur, le quinquagénaire s’était scellé dans un silence de plomb pour observer d’un œil fermement réprobateur les échanges déchirant Wilhelm et la jeune femme. Il n’avait pas distinctement objecté, pas au-dessus du refus porté par ses yeux glacés. 76 n’avait jamais été très loquace et le temps où il parvenait à unifier les individualités était mort à Zurich. Pour autant il rejoignait la réaction du croisé, l’approuvait derrière ses yeux violemment clos et connaissait également les assauts de l’agacement. En témoignait son faciès fondu dans la fermeté. Il ne formula toujours rien lorsque le géant tonitrua hors de la résidence, le laissant s’extraire à la charge qui pesait sur lui en sachant pertinemment qu’il allait revenir. Un profond soupire se déroba à ses pensées coulées dans le marbre, inflexibles, une fois les feux cessés il rejoignit le docteur. Il tenta de lui parler de sa voix la plus raisonnée. Calmement. Un registre rouillé. Il aboya ensuite son refus avec toute la rudesse d’un commandant et rien ne fut suffisant.
C’est ainsi qu’il comprit que les choses ne pourraient être empêchées mais seulement amorties. Il eut une discussion avec Wilhelm et, au sortir de celle-ci il ne fut que davantage convaincu que le guerrier s’apprêtait à placer toutes les forces à sa disposition dans cette bataille trop personnelle. Il lui fallait du temps pour digérer et le soldat ne pouvait l’en blâmer. Lui-même se trouvait pieds et poings liés à une décision désapprouvée, comme au temps de la grogne populaire criblant Overwatch de culpabilité. Il avait apprit malgré lui à ronger son frein.
Mais le jour décisif cette farce le fait jurer entre ses dents, mâchoire crochetée, regard glacé perforant rudement l’appareil qui semble se rire de lui. Un bon dieu de grill. Les habits civils se scindent de manière dérangeante à sa carrure presque entravée. Son cuir strié d’éraflures, si souvent embrassé par les balles, est devenu sa seconde peau et s’en défaire lui apparaît parodique. Il n’a rien à proposer à cette mise en scène de la vie quotidienne et il dénote d’un simple coup d’œil porté à sa stature rigide. S’il s’y prête de mauvaise grâce c’est qu’il a une parole à honorer. Que peu de choses incarnent encore un semblant de valeur. Et qu’il faut encadrer la déraison du docteur Ziegler.
Sa main le brûle d’empoigner son arme située à une poignée horripilante de centimètres, il actionne avec virulence ses articulations pour les réduire au silence. Et grince dans un rictus peu engageant, amer. Bien qu’il ne doute pas de ses réflexes lui imposer un temps de réaction est insensé. Sentir le métal alourdir son holster d’épaule n’est qu’une maigre compensation.
S’il prétend ne plus appartenir au monde des sentiments, lui préférant celui de la guerre continue qui n’a pas besoin de mots ou d’échanges humains pour être opérationnel, il lui est cette fois impossible de refuser une implication personnelle aussi dissonante soit-elle. 76 n’a jamais eu l’occasion d’être un homme ordinaire et ce n’est pas aujourd’hui, incarcéré dans ce pavillon faussement paisible, qu’il sera autre chose qu’un soldat. Peut-être avait-il été un civil dans un passé diffus mais depuis sa majorité il n’avait plus porté que l’uniforme. Le destin faisant il se trouve aujourd’hui en l’attente d’un ennemi ayant été son premier supérieur et premier ami. Reyes est à abattre et si cette pensée cogne sous son crâne il n’en dit pas un mot. Il balaie avec rudesses des images parasites, celles de journées bercées d'un soleil rieur où un gamin au chapeau de cow-boy les excédait tranquillement Reyes et lui. Il décide d'oublier jusqu'aux bouteilles négligemment descendues par deux vieux amis, d'oublier le regard faussement fatigué qu'Ana coulait sur eux. Peu expansif, peu disposé à occuper l’espace déjà gorgé de problèmes qui dépassent sa capacité d’acceptation. Il consigne tout cela le plus loin possible.

L'affrontement ne tarde pas à le rappeler à l'ordre. L'horizon se réduit drastiquement et le soleil s’évapore. Des volutes de fumée noire s'infiltrent dans la scène pour l'empoisonner, son sang bondit immédiatement sous sa peau. Mais l'initiative lui est refusée, le spectre lui fait personnellement barrage. 76 plante dans le masque de mort un regard brûlant de sommation, son esprit enfiévré fait le compte de ses possibilités et y soustrait les dangers immédiats. Impossible d'accéder à son fusil à impulsion et le petit calibre trônant sous son bras n'opposerait aucune résistance face aux armes fantomatiques générées devant lui, à bout portant. Il sort pourtant son arme de l'étui et se fige dans une posture défensive, presque rituelle. Une colère sourde envenime son esprit en pensant soudain à qui il s'oppose. La première rencontre avec le Faucheur l'avait laissé dans le silence, la latence, mais cette fois c'est la rage qui répond au rôle qu'Angela lui a attribué. Il découvre à l'adversaire une théâtralité qui singe l'homme qu'il a un jour connu et son visage se gèle. Il ne répond pas à sa provocation, cloisonne à l'intérieur. Jusqu'à ce qu'il soit frappé de réalisation. Le sac. L'horreur qui devait être enfermée à l'intérieur. Sa voix grave ordonne sèchement. Il tourne autour de l'ennemi à dessein de placer son dos dans la trajectoire du docteur, de la couper du Faucheur. «  Ne te laisse pas atteindre Angela. Ne touche pas à ce truc. Reste concentrée sur ce que t’as à défendre.  » Celui qui se tient face à lui a atteint un nouveau degré d’inhumanité - c'est ce qui se transcrit distinctement dans le regard du vieux soldat, mais il ne lui fera pas grâce d'en dire un mot. Il ne lui demandera pas ce qu'est devenu Reyes même si cela brûle à l'angle de ses lèvres.
Le geste de l'adversaire est soudain et 76 rétorque tout aussi rapidement. «  Wilhelm, occupe-toi d'elle. Repliez-vous ! » Alors qu'il invective le germanique, sa botte se fracasse au sol pour étouffer la traînée inflammable. Le Faucheur souhaite lui couper l'accès à son armement et c'est avec une résolution froide qu'il n'essaie pas davantage de l'en dissuader. 76 fuse au contraire vers son ennemi pour lui décocher un coup de poing dans la mâchoire. Immédiatement ensuite il le saisit avec virulence et en exerçant tout son poids dans le plaquage, le fait chuter avec lui au sol. Une rage incontrôlée le foudroie alors qu'il surplombe désormais le Faucheur. « Foutez-moi l'camp d'ici ! » Désinhibé, le visage déshumanisé tant il est tiré, par cet ascendant factice ses coups pleuvent sur le spectre en contrebas, mais il ne parvient toujours pas à articuler un mot à son encontre. Il ne peut accorder que du temps, espérant que les autres puissent s'armer.







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Sam 31 Mar - 10:05



 
Joyeux anniversaire


Alors que je m’attendais à ce que ce soit une lutte acharnée, je ne m’attendais pas à ce que l’enfer tombe sur nous. Il apparut, se matérialisant entre deux planches de bois, éjectant le grill d’un coup de pied. Il lança alors un sac entre nous, laissant des paquets cadeaux glisser au sol. C’était les têtes de mes anciens collègues de l’unité médicale d’Overwatch. Mécaniquement, ma main descendit vers les paquets. Est-ce qu’il mentait ? Est-ce qu’il avait réellement tué tous ceux qui m’étaient chers dans une autre vie ? Mon genou au sol, ma main à quelques centimètres du premier cadeau, que la voix du commandant Morrison résonna à mes oreilles, m’ordonnant de me reprendre et de me concentrer sur ce que j’avais à défendre. MA VIE.

J’appuyais sur le bouton de déploiement de mon armure Caducée. Celle-ci partit de mes hanches pour recouvrir jambes, pieds et bassin alors que mes chaussures et ma jupe explosèrent devant l’alliage qui prenait place pour protéger mon corps. La partie supérieure se déployait aussi alors que j’enlevai ma chemise, un de mes bracelets cassant lorsqu’il fut recouvert par l’armure. Les ailes se mirent alors au grand jour, rendant à mon aspect un air d’ange que je n’étais plus depuis longtemps. Cette supercherie continua alors qu’une fausse auréole surplombée ma tête. Ma main se posa automatiquement sur mon arme, toujours accrochée à ma hanche droite. Ceci n’avait pris que quelques secondes.

Le commandant ordonna alors à Wilhem de m’aider à me replier.

« Je ne suis pas une civile Commandant, je n’ai pas besoin qu’on me protège. »

Je tirai vers le Faucheur, ne m’arrêtant que lorsque lui et Jack étaient au corps à corps, tout en reculant vers la porte du jardin. Mon pied toucha la petite marche et je m’engouffrai rapidement dans le salon, cherchant Caducée du regard. J’aurais voulu sentir sous ma main ce bâton qui était de ma création, mais mon gant ne m’aida qu’à le saisir, sans le ressentir. Alors que je m’apprêtais à ressortir, j’entendis le bruit d’un mur qui se fracassait.

Ressortant pour de bon, je vis que Reinhardt avait pris part au combat, son bouclier déployait et son marteau à la main. Son épaule étant en sang. Je sautais à couvert derrière lui et appuya sur le bouton de Caducée qui lâchait des particules de soins. Je dirigeai le halo vers sa plaie qui se referma après quelques secondes.

« Il faut offrir à Jack une ouverture pour récupérer son arme. »

Je montrai de ma main le Faucheur qui venait de repousser du pied notre commandant. Si Wilhem avait eu son armure, il aurait pu se propulser, mais il n’avait pas encore eu le temps de s’en équiper, cette dernière étant sûrement encore dans sa chambre. Bouclier déployé, il avançait vers le combat alors que je tirai en direction de notre ennemi.

« Lance à Jack son arme. »

Je me déployai sur la gauche de mon ami germanique, contournant Reyes alors que ce dernier rigolait encore de nous. Alors que je pensais être dans son angle mort, le corps de Gabriel se retourna d’un coup et tira en direction de mon torse. À courte distance comme j’étais, je sentis les éclats de balles rentrer dans mon corps et me pousser en arrière alors que je percutais la barrière entre mon jardin et celui de mon voisin. L’armure Valkyrie comprenant que mon corps était en danger m’injecta la première seringue de particule Caducée. Je sentais en moi, mes intestins se refermer et les éclats de balles sortirent par les trous qu’ils avaient causés.

« Je veux le tuer de ma propre main. »






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Dim 8 Avr - 21:00


   
   

   

   Joyaux anniversaire Ou pas
Bon comme je l’avais imaginé, c’était le bordel. Un ange de la mort était descendu du ciel, Reyes, c’était bien vu focalisé sur le commandant. Ce qui me donnait une ouverture. Il y avait beaucoup de hurlement et de Crie. J’ordonnai à tous de se mettre en sécurité, déployant mon bouclier devant eux pour leur éviter une balle. Je rageais sur Angela d’avoir mis des civiles en danger de la sorte, je fulminais sur moi-même d’avoir laissé faire. Toute cette agressivité, je la dirigeais vers notre ennemi. Dommage que je n’eusse pas mes propulseurs, car j’avais une terrible envie de l’empaler. Mais peut-on écraser la mort, elle-même ? J’aurais bien aimé essayer.

Ange m’avait fourni du matériel, pour le moment, le bouclier n’était pas trop mal, il fessait le travail en tout cas. Lorsque j’ordonnai à mon marteau de venir à moi, comme elle me l’avait recommandé. Si fallut un certain temps, des minutes précieuses. Enfin, il fut là dans mes mains, je sentis le choc dans ma main. Heureusement que je n’avais pas encore de l’arthrite. Je lâchai quand même un juron.

Le faucheur avait mis le feu, à la fête. Pas vraiment dans le bon sens. Autant les balles, je m’en accommodais, mais les flammes sans mon armure, c’était chaud.

Soldat avait besoin de moi et les invités aussi. Je jetai la table sur les braises essayées étouffées les flammes et me permettre d’avancer vers l’arme de Jack. Ange était revenue, elle criait ses ordres, je n’avais pas vraiment envie de l’écouter, elle n’était assez raisonnée pour pouvoir.

Jack avait raison, heureusement, la plupart des invités étaient partis et je balançais les quelques retardataires dans la maison. Angela vola au contact.

- NON Criais-je balançant une rafale via mon arme

Comme cela était prévisible, Ange se prit une balle. Si ma rage n’était pas encore au maximum, l’était sur le point d’exploser.

Ma rafale avait balancé le fusil de Morrison près de lui. Ma projection avait distrait l’ennemi assez pour le commandant puisse reprendre son bien. Mais s’était trop tard pour Angela. Je courus vers eux, je m’étais équipé de botte propulsée, elle n’était pas aussi efficace que mon propulseur ventral, mais pour les combats de ce type, elle pouvait être utile. Elles me permettaient de me mouvoir plus rapidement vers ma cible. Que j’avais très envie de couper en deux, si j’avais été équipé d’une hache. Je profitai de ma vitesse pour faire un saut et claquer mon marteau sur la tête de mon adversaire, mais celui-ci se volatilisa.

- Pleutre lâche… revient ici que je t’en mette une. Meuglais-je

Je jetais un œil à Angela qui était entrain de se soigner. Mais combien de temps allait-elle tenir. Si elle continuait ainsi, elle allait en mourir. J’avais vraiment en mauvais présentement. Soldat avait récupéré son arme près à tirer sur son ennemi.

   

   

   




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Joyeux anniversaire [Ange, Reinhardt, Soldat vs la Griffe]

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Overwatch : The Recall-